l’URPC est une des plus anciennes institutions de Belgique (1846)

l’URPC est une des plus anciennes institutions de Belgique (1846)

ENTRE PASSE & AVENIR

 DT

Voici quelques documents qui relatent l’histoire de la pharmacie sur la région de Charleroi.

Ce patrimoine historique permet de mieux comprendre l’origine et les activités de l’UNION ROYALE PHARMACEUTIQUE DE CHARLEROI qui fut fondée en 1846 .

On peut par exemple y voir l’implication dans la mise en place de structures nationales d’utilité publique comme le contrôle des denrées alimentaires devenu AFSCA . 

Et … Son implication comme cofondateur d’une série de structures  : l’APB ,la SSPF , l’AUP…

A chaque époque l’Union a mis en place les services utiles pour ses membres.

Voici quelques rôles de l’URPC dont on retrouve les fondements dans les documents historiques :

 

1a°Axe scientifique axé sur la qualité & axe économique avec la sécurisation du circuit d’approvisionnement et qualité des produits délivrés.

L’analyse des matières premières étaiet une priorité de santé . A l’époque la majorité des médicaments était fabriqué par le pharmacien et les produits frelatés étaient nombreux . Plutôt que d’analyser chacun de son côté …. Il était dès lors plus facile de mettre en place un réseau sécurisé d’approvisionnement avec un contrôle centralisé de ces matières premières. Cela permettait une garantie ,la sécurité et aussi de négocier les prix.

Il n’est donc pas étonnant qu’au fil des années , l’URPC soit à l’origine de son propre grossiste SAMBRIA (revendu plus tard).

Il est également logique que les pharmaciens spécialisés dans l’analyse soient des acteurs de la surveillance des denrées alimentaires . L’URPC a joué un rôle important dans son fonctionnement qui aboutira avec elle à ce qui deviendra l’AFSCA . L’actuel SCM (Service de Contrôle des Médicaments) est aussi une initiative des pharmaciens qui en assurent encore le fonctionnement.

1b°Axe scientifique axé sur la qualité au travers de la transmission  du savoir :

Si la qualité est une priorité , l’enseignement , la formation et la transmission du savoir ont depuis le début été aussi une raison d’être pour l’URPC. Du compagnonnage à la mise en place avec les autres unions de sa propre société scientifique le 6 octobre 1996 (SSPF).

1c°Axe scientifique axé sur la qualité & disponibilité au travers du service des gardes pharmaceutiques:

L’URPC est le moteur local de l’organisation des rôles des gardes afin d’assurer la continuité d’accès aux soins de santé .

2°Axe économique avec la mutualisation des services :

A chaque époque l’Union a mis en place les services utiles pour ses membres.

La mutualisation de services permettra à l’URPC de diminuer les coûts pour ses membres.

Avec par exemple l’analyse centralisée des matières premières , la pratique d’achats groupés menant à la création de notre propre grossiste (cfr plus haut). 

Il y a aussi la création de notre propre logiciel informatique (COGESTIC),l’office de tarification , le service social , la mutualisation des coûts pour  la destruction chimiques , stup ,seringues , archives … Ce ne sont là que quelques exemples.

3°Axe social,culturel et récréatif :

La vie ce n’est pas que le travail c’est aussi pouvoir sortir le nez du guidon. Depuis ses débuts l’URPC était un lieu d’échanges sur les sujets de la profession mais aussi au niveau social, culturel avec l’ organisation de sorties et activités champignons ,botaniques . Certains pharmaciens se sont également impliqués pour maintenir la mémoire du patrimoine culturel de la pharmacie . Nous pensons au musée Gilson et le musée Jacques Soupart (anciennement Leers-et-Fosteau) dont l’URPC est devenue l’écrin.

Et organisation d’événements festifs comme « Rock the Pill »  ainsi que l’élaboration de sa bière « Thériaque » à déguster lors de nos formations et événéments…

4°Axe politique :

La défense professionnelle fait partie des missions inhérentes  de l’union.

Pour une plus grande efficacité et cohérence, cette mission est actuellement essentiellement mutualisée au sein de l’APB (1950) et de l’AUP (2012) dont nous sommes des membres fondateurs.

Cela n’empêche pas l’URPC d’être un interlocuteur des autorités locales avec lesquelles l’URPC garde des contacts privilégiés. Ses contacts avec les autorités locales existent depuis les origines (1846) comme son implication dans le fonctionnement de ce qui deviendra l’AFSCA et avec le tribunal de Charleroi (pour lequel des analyses étaient réalisées).

En 1950 , l’APB est créée par la fusion de la Nationale Pharmaceutique et de l’Algemeen Apothekers Verbond  . Cette fusion regroupera toutes les fédérations des Unions professionnelles de l’époque .

En 2012 l’AUP est créée et deviendra avec la régionalisation des soins de santé l’interlocuteur régional. 

 

5°Axe législatif :

Il est difficile pour chaque pharmacien de se tenir informé de tout , l’URPC a toujours été là pour aider ses membres à respecter les nombreuses obligations légales .

 

6°Axe multidisciplinaire :

En terme de collaboration entre les premières lignes ,Charleroi est pionnière en Belgique .l’URPC est en effet une des premières unions a avoir pris le chemin de la collaboration entre médecins ,pharmaciens, infirmiers ,kinés etc.

L’URPC est présente au sein de la coordination des soins depuis 1988 et au sein du SISD Carolo depuis sa création le 18 novembre 2003  .

L’évolution de notre métier nous montre l’importance d’une collaboration active avec les autres prestataires de soins de premières lignes (médecins, infirmiers, kinésithérapeutes et autres acteurs du terrain comme les éducateurs …).Et ,ici aussi , l’esprit qui soutient cette volonté de collaboration c’est la qualité des soins qui doit être au mieux coordonnée entre les différents prestataires de soins.

 

 

 

 

 

 

 

 

Le bulletin n° 40 de novembre 1968  « CERCLE BENELUX D’HISTOIRE DE LA PHARMACIE » Ce bulletin reprend  « LA PHARMACIE EN BELGIQUE de ‘1800 à 1835  par le pharmacien J. COPIN » extrait du « Bulletin de Pharmacie », nos 1 et 4 de 1967 dont nous n’avons pas retrouvé l’original.

En Belgique ,de 1800 à nos jours , la pharmacie passe par la période française, la période hollandaise (1815-1830) et enfin la période belge (avec l’indépendance de la Belgique en octobre 1830).Chacune de ces périodes a eu ses influences..

CERCLE BENELUX D’HISTOIRE DE LA PHARMACIE

 

Extrait de la Revue de Médecine et de Pharmacie (Section de pharmacie) 
N° 4 de 1959 

Un précurseur de la Société d'histoire de la pharmacie 
le pharmacien-archéologue 
Désiré AIexandre Henri Van Bastelaer

Henri Van Bastelaer pharmacie histoire

 

 

L’ACADÉMIE ROYALE DES SCIENCES, DES LETTRES ET DES BEAUX-ARTS DE BELGIQUE.

TOME VINGT-SIXIÈME .1936-1958

L’ACADEMIE ROYALE Sciences lettres Belgique BiographieNationaleTome2074 Voir P144 (1)

VAN BASTELAER (Désiré-Alexandre-Henri), docteur en sciences, pharmacien et archéologue, né à Namur, le 30 avril 1823, mort à Saint-Josse-ten-Noode, le16 mars 1907. Il était fils de Désiré-Joseph et de. Dieudonnée-Josèphe Van Ringli. Son père, issu d’une famille gantoise fixée dans le Hainaut à la fin du XVII« siècle, était venu s’établir à Namur où il se maria; il retourna à Charleroi quand Désiré-Alexandre était encore enfant. Celui-ci fréquenta l’école communale puis, plus tard, fut envoyé au Petit Séminaire de Bonne-Espérance pour y faire ses humanités. Il ne quitta cet établissement qu’après avoir terminé sa première année de philosophie, afin d’entrer, en 1843, comme professeur de la classe de poésie dans une institution privée de Tournai. C’est là que, pendant ses loisirs et avec les conseils de son ami Th. Gorinflot, pharmacien à Charleroi, il prépara l’examen de pharmacie qu’il subit avec succès en 1845. Deux ans plus tard, il obtenait, le titre de docteur en sciences naturelles et, en 1848, il s’établissait à Charleroi,

Sa curiosité universelle, son travail sa volonté- tenace, lui firent bientôt une situation des plus enviables. Ses obligations professionnelles ne l’empêchaient point de s’occuper de questions bien diverses et, après son mariage avec Elisa van der Spiecke de Bruxelles, en 1864, il trouva, chez cette compagne d’élite, les encouragements et l’aide nécessaires pour mener de front tous les travaux qu’il ne cessait d’entreprendre.
Van Bastelaer avait, en même temps que son officine, installé un laboratoire où il faisait des analyses pour les industriels de la région; il fut, en 1850, nommé chimiste de la ville et du tribunal et se signala souvent par ses études sur des produits frelatés et par d’excellentes recherches toxicologiques. Pendant plus de vingt ans, il assura le fonctionnement d’un service local de surveillance des denrées alimentaires, en quoi il prépara la voie à l’organisme qui devait, plus tard, s’étendre sur tout le pays et dont il prit la direction en 1879.

Nombreuses sont ses publications sur la méthode à suivre pour dépister les falsifications de tout genre.
« Pharmacien je suis, pharmacien je serai, et j’en suis fier », s’écriait-il, lors de la manifestation que lui firent ses amis en 1881.

En effet, après avoir abandonné son officine pour s’occuper uniquement de laboratoire, il ne cessa cependant jamais de combattre, avec un absolu désintéressement, pour assurer la formation scientifique et la protection du corps pharmaceutique et afin d’empêcher que ses confrères ne deviennent de  “simples boutiquiers ».

Il attaqua avec vigueur le cumul médico-pharmaceutique, les prête-nom et les gérances, les empiétements des droguistes, tout en se préoccupant beaucoup du stage professionnel et de la constitution même des jurys chargés de délivrer le diplôme de pharmacien. Est-il besoin de dire que, a côté de nombreux opuscules de combat, Van Bastelaer publia de remarquables travaux sur la pharmacopée, où l’on peut juger de la profondeur de son savoir et de la netteté de ses idées.
Membre de l’Union pharmaceutique de Charleroi depuis le 24 octobre 1848, Van Bastelaer en devint secrétaire en 1854, président en 1867, et président d’honneur en 1884, quand il quitta la province pour se fixer à Bruxelles.
L’Association générale pharmaceutique de Belgique l’élut successivement secrétaire général (1867), vice – président (1871), président (1884); c’est ainsi qu’en 1885 il dirigea la session du Congrès international de Pharmacie réuni à Bruxelles L’Académie royale de médecine de Belgique l’avait,en 1868,nommé membre correspondant; il devint, dans la suite, membre titulaire (1881), vice président (1895) et président (1899).

Il importe de signaler également son activité à la Commission médicale de la province de Hainaut et à celle d’hygiène et de salubrité publique de Charleroi.
Van Bastelaer fut un des fondateurs de la Société royale de médecine publique de Belgique; cette compagnie lui décerna, peu avant son décès, une médaille d’or en reconnaissance de ses longs et loyaux services. En effet, dès 1885, il avait organisé un Service ozonométrique, sous le patronage de cette société et avec le concours de correspondants bénévoles. Son ingéniosité et sa persévérance eurent raison de toutes les difficultés matérielles et techniques; on trouvera dans les Bulletins de la Société Royale de Médecine publique l’histoire de ce service et les tableaux périodiques qui résument les observations faites. Sans se bercer de vaines illusions sur les résultats que cette vaste enquête donnerait, au point de vue de l’état sanitaire en fonction de l’échelle ozonométrique, Van Bastelaer poursuivit ses travaux, malgré l’apathie et même l’hostilité de quelques collègues.
Plein de zèle et de dévouement quand il s’agissait du bien matériel et moral de ses semblables, il s’était distingué lors de l‘épidémie de choléra en 1866.
Il intervint dans les discussions soulevées par le dépôt de projets de lois sur le travail des femmes et des enfants dans les mines et les fabriques. Le Bureau de bienfaisance de Charleroi le compta parmi ses membres, et fut préside par lui de 1873 à 1878. Vnn Bastelaer soutient et encouragea fréquemment les Petites Sœurs des pauvres de Charleroi dans leurs œuvres charitables; il fit également partie du comité directeur de la Caisse de pensions du corps médical belge.

Peu à peu les charges et les honneurs lui vinrent de tous côtés. Membre et président des jurys de l’enseignement supérieur (examens de pharmacie, concours et bourses universitaires, prix quinquennaux des sciences médicales), membre de la commission permanente de la Pharmacopée belge, de la commission instituée par le Ministère des chemins de fer pour reviser l’orthographie des noms des communes belges, Van Bastelaer reçut diverses distinctions scientifiques. La Société de pharmacie
d’Anvers et la Société des sciences médicales et naturelles de Bruxelles lui décernèrent chacune une médaille pour des mémoires soumis à leurs concours.
De nombreux corps scientifiques belges et étrangers se firent un honneur de l’appeler en leur sein. Nommé chevalier de l’Ordre de Leopold, le 4 mai 18S1, il fut l’objet de manifestations de sympathie dont on possède des comptes rendus détaillés.

Le 27 novembre 1863, se fondait, à Charleroi, la Société paléontologique et archéologique de l’arrondissement. Fortement épris de tout ce qui rappelait le passé, l’histoire de la ville et de ses institutions, Van Bastelaer fui, en 1864, inscrit sur les listes de la jeune compagnie; il devait bientôt en devenir l’âme. Elu secrétaire en 1869, président en 1872, il occupa ce poste pendant dix-huit ans au cours desquels il batailla sans cesse pour la sauvegarde des monuments de la région. Malgré l’insouciance des pouvoirs publics, il s’obstina et, après des vicissitudes sans nombre, il parvint à faire construire, aux frais de la ville, un musée destiné à abriter les collections de la société. Ce musée est vraiment son œuvre; il renferme, en ordre principal, le produit des fouilles qu’il a dirigées parfois au préjudice de ses affaires personnelles. Nommé membre de la Commission royale des monuments (1878), de l’Académie d’archéologie de Belgique (correspondant en 1875, titulaire en 1895), il présida, en 1888, le
Congrès historique et archéologique de Charleroi.

De 1868 à 1886, Van Bastelaer édita une Collection des actes de franchises, de privilèges, etc., donnée à la Ville de Charleroi; cette publication se complète logiquement par les Opuscules historiques (3 vol. 1868-1900) et l’ Histoire métallique (1899-1900) de la ville et de l’arrondissement. D’autres articles sur le même objet figurent aussi dans l’importante série des Mémoires archéologiques (8 vol., depuis 1868). Cet ensemble de notices et de documents constitue un fonds des plus précieux.
Cependant ce ne furent pas ces travaux d’historien qui attirèrent le plus l’attention sur notre auteur. Bien armé par ses humanités, ayant ,de son éducation de chimiste, une façon très originale d’envisager les faits et les choses, il devait consacrer une grande partie de son existence aux études archéologiques. Celles-ci donnèrent lieu à de nombreuses publications, réunies sous le titre déjà cité de Mémoires. Fouillant au bénéfice de la Société de Charleroi, l’attention toujours en éveil sur les moindres trouvailles, il ne cessa d’enrichir le musée et de publier de volumineux rapports sur ses découvertes. Les tendances de son époque l’ont parfois poussé à certaines «exagérations, notamment quand, à propos d’un vase romain ou même d’un simple débris, il corse son texte de citations tirées d’auteurs classiques ; le compte rendu de la petite fouille d’une villa romaine à Ville sous Montignies-Sur-Sambre en est un exemple typique.

Néanmoins, cet abus est compensé par une grande précision dans la description des objets et leur classification. Le chimiste se révèle d’autre part dans la méthode qu’il adopta pour inventorier ses trouvailles; chaque pièce se range suivant la période, la matière ,la forme, etc. et est indexée par une série de lettres, de chiffres et d’exposants d’aspect assez hermétique. Van Bastelaer eut souvent l’occasion de faire l’examen chimique de documents archéologiques; nous devons, à en propos, signaler des notes intéressantes sur l’ambre, les bois et corps organiques remontant à l’antiquité, enfin, sur la technologie céramique. La céramique!
Un de ses adversaires irréductibles l’avait un jour surnommé Potologus. Avec le recul des événements, ce sobriquet peu révérencieux nous paraît être tout à l’honneur de notre archéologue. Celui-ci avait, en effet, compris que l’humble tesson de poterie a souvent autant de valeur documentaire que le bel objet de vitrine. De 186L à 1865, il avait publié, dans le Médecin des Familles (Liège, 6 et 7ème années), une série de notices sur les Vases vitrifiés ou vitrifères destinés à l’usage domestique. Envisageant surtout la céramique an point de vue de l’hygiène, Van Bastelaer ne s’imaginait peut-être pas, à cette époque, que cette étude lui servirait plus tard dans ses travaux archéologiques. On peut dire qu’il fut un véritable précurseur quand, pour établir le synchronisme des tombes franques, il se basait sur l’identité des roulettes employées dans la décoration des vases qu’on découvrait dans ces sépultures.
Un des premiers, il chercha à établir une chronologie acceptable de la céramique médiévale. Un jour, la découverte des anciens fours et fosses de déchets des céramistes de Bouffioulx et de Châtelet lui permit de faire, à l’aide des archives, l’histoire des grès cérames fabriqués dans le Hainaut depuis la fin du XVI« siècle. Dans ce dernier ouvrage, réalisé en peu de mois, certaines pièces d’origine étrangère se mêlent peut-être à celles de la région envisagée; l’ensemble de ce travail n’en constitue pas moins une source précieuse de matériaux pour les historiens de nos anciennes industries d’art.

La question franque devant le Congrès de Charleroi (1888), tel est le titre d’un des articles les plus connus de Van Bastelaer; il y relate, dans le détail, la discussion, presque la bagarre, qui mit aux prises des archéologues, Bequet et lui-même, avec Godefroid Kurtb.
Ce dernier, tout imprégné de ses idées sur l’origine de la frontière linguistique dans notre pays, prétendait que les sépultures dites franques, découvertes dans la région wallonne, loin de renfermer les restes des Francs, avaient été laissées par des population); romanisées qui survivaient aux invasions germaniques. Van Bastelaer affirmait au contraire que ces tombeaux étaient uniquement dûs aux Barbares; il émettait d’ailleurs l’opinion que la frontière linguistique pouvait remonter à une époque antérieure à la conquête romaine.
Admettant l’existence de tombes franques caractéristiques à côté et contemporaines de tombes incontestablement romaines, il basait sa vigoureuse riposte sur une chronologie mal établie. La discussion ne pouvait donc que s’embrouiller et, si les travaux plus modernes ont fait avancer le problème, ils ne l’ont pas encore complètement élucidé.
Cet incident du Congrès de Charleroi demeurera une étape mémorable de nos études d’histoire et d’archéologie nationales.

Jacques Brauer

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Fr. Culot, Compte rendu des manifestations des
24 avril et 25 mai i881… (Journal de Pharmacie d’Anvers, l. XXXVII, 1881, p. 861-398). —
J. de Thibault, Compte rendu de la manifestation
de sympathie faite le 18 décembre 1884…
(Documents et rapports de la Société palénntologique el archéologique de Charleroi, t. XII, 1883,
p. 461-473). — Désiré Van Bastelaer [Biographie
el liste de travaux historiques et archéologiques]
(Dnciiments et rapports… Charleroi, t. XXXV,
1918-1914, p. 67-71 et p. US). — En mémoire de
Van Bastelaer [Recueil des discours prononcés
à ses funérailles] (Bruxelles, 1907, av. portrait).
— Notices dans les Documents et rapports…
Charleroi, t. XXXIX, 4906, p. 315 318; Bulletin
pharmaceutique de Charleroi, t. XI, mai 1907,
p. 83-55; L’Ollicine, vin« année, n» 4, 20 avril
1907, p. 67,68; Bulletin de l’Académie royale
d’Archéologie de Belgique, 1907, p. 4i, 45, —
S. Vreven, Eloge de M. Désiré Van Bastelaer
(Mémoires couronnés, in-8», publiés par l’Académie Royale de Médecine de Belgique, t. XXIII,
1938, p. 317). — Bulletin de l’Académie Royale
de Médecine de Belgique, 4» série, t. XXI, 1907,
p. 158. — liiblioaraphie nationale, l. III (Bruxelles, 1910), p. il-lg. — D.-A. Van Bastelaer,
Opuscules historiques, t. III (Bruxelles, 1900),
passim. [On trouve, à la (In de ce volume, la liste
des publications de Van Bastelaer.] — Renseignements de M. René Van Bastelaer.

 

Pour les curieux , des archives “sauvées”:

CERCLE BENELUX D’HISTOIRE DE LA PHARMACIE (1)

Copin J pharmacien La Pharmacie en Belgique

Henri Van Bastelaer pharmacie histoire (1)

La pharmacie en Belgique de 1794 a 1814 (1)

L’ACADEMIE ROYALE Sciences lettres Belgique BiographieNationaleTome2074 Voir P144 (2)

POUR UNE ETUDE DE L’HISTOIRE EN BELGIQUE A Gguislain & E Segers

Quelques precurseurs de l’histoire de la pharmacie en Belgique A Guislain 1964

Reunion cercle benelux a Charleroi 1966

Un precurseur de la Societe d’histoire de la pharmacie Van Bastelaer par Jean Copin

Van Bastelaer promenades d un botaniste (1)

Theriaque a l epoque moderne

Theriaque Revue d histoire de la pharmacie (2)

Theriaque des pauvres

 

 

URPC FONDEE EN 1846, UNION PROFESSIONNELLE RECONNUE EN 1890

MONITEUR BELGE DU 6 DÉCEMBRE 1899 – ACTE 113.

Dans son rapport de l’année 2022, PGEU (Pharmaceutical Group of European Union) estime qu’un pharmacien consacre en moyenne 6.68 H/semaine à la gestion des manquants.   https://www.pgeu.eu/wp-content/uploads/2023/01/Medicine-Shortages-PGEU-Survey-2022-Results.pdf

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L’URPC est l’office de tarification de Charleroi et remplit la fonction de maillon vital et central pour la perception des montants que les pharmaciens doivent recevoir des mutualités pour la délivrance des médicaments dans le système du tiers payant.

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